mesures royales qui m'apparaît valable. A part deux ou trois familles qui sont venus par alliance, nous étions tous du même clan dans le village, alors que les autres villages autour étaient composés de plusieurs lignages. Ce n'est pas pour me vanter de mon origine, mais enfin, dans l'ancien régime ma famille comptait. Quand un gouverneur arrivait, souvent on faisait appel à la branche aînée de ma famille. Elle était très connue. Autonomie villageoise Quand j'avais 11 ou 12 ans, j'ai assisté à une chose invraisemblable. Un policier est arrivé dans le village. Il essayait d'arrêter les gens qui jouaient aux cartes. Finalement, les joueurs se sont mis à le chasser. Il ne pouvait pas entrer dans notre commune. On se considérait comme une commune honorable. La peste Le grand-père de mon grand-père était un lettré connu de la région. Il ne connaissait que les classiques chinois et composait des poésies et des dissertations en chinois, mais il était alcoolique, au grand regret de mon grand-père. Ce grand lettré n'a jamais demandé à mon grand-père d'apprendre quoi que ce soit. Etant donné les coutumes coréennes, mon grand-père ne pouvait pas avoir de haine pour son grand-père. Il ne pouvait pas exprimer son ressentiment contre lui, mais il racontait cela pendant toute mon enfance. Quand il a eu 14 ans, une épidémie de peste s'est déclaré. Le grand-père est allé en ville pour l'examen qu'on passait avant d'aller passer l'examen à Séoul. Les lettrés se réunissaient et s'exerçaient. J'ai vu cela un peu dans ma première enfance. Souvent, les fils de familles aisées faisaient écrire par d'autres lettrés. Probablement, mon arrière-grand-père gagnait quelques sous comme cela, puis, avec cet